Au fil du temps, notamment des dernières décennies, les progrès scientifiques ont révolutionné notre façon de vivre et de penser. Mais notre cerveau est bien incapable de suivre le mouvement. Il date encore de la préhistoire, de l’époque où l’homme était un chasseur-cueilleur. Cela expliquerait qu’il lui soit parfois impossible de réfréner certaines pulsions, comme celles menant aux addictions et à l’obésité. Mais tous les espoir sont permis car la biologie n’est ni figée, ni déterministe. Et les nouvelles connaissances qui s’accumulent chaque jour permettent d’envisager une nouvelle façon de combattre ces maladies « modernes ».
Où ?
Centre Universitaire Méditerranéen
NICE
Orateurs
Claudine JUNIEN
Professeur émérite de génétique médicale
Pier Vincenzo PIAZZA
Médecin, chercheur en neurosciences
Pascal PICQ
Paléoanthropologue, maître de conférences au Collège de France
Modératrice
Béatrice PARRINO, Le Point